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ATTENTION : Cet article contient des spoilers sur la fin de la série et du livre 11.22.63 (22/11/63 en vf).

Le huitième et dernier épisode de 11.22.63, série tirée du livre de Stephen King, est disponible en version originale sur Hulu depuis une semaine. Certains d’entre vous n’ont sans doute pas pu attendre que la série arrive sur Canal+, qui en a racheté les droits, pour dévorer ces 8 épisodes.

On a appris cette semaine que le poème lu par la version âgée de Sadie à la fin du tout dernier épisode du show a été écrit par Stephen King lui-même, exprès pour la série. Nous vous proposons de le (re)découvrir, ainsi qu’une traduction évidemment :

We did not asked for this room or this music. We were invited in.
Therefore, because the dark surrounds us, let us turn our faces to the light.
Let us endure hardship to be grateful for plenty.
We have been given pain to be astounded by joy.
We have been given life to deny death.
We did not ask for this room or this music.
But because we are here, let us dance.

Nous n’avons pas demandé cette salle ou cette musique. Nous y avons été invités.
En conséquence, parce que l’obscurité nous entoure, laissez-nous tourner nos visages vers la lumière.
Laissez-nous endurer les épreuves et être reconnaissants pour ce que nous avons.
On nous a donné la douleur pour être stupéfaits par la joie.
On nous a donné la vie pour refuser la mort.
Nous n’avons pas demandé cette salle ou cette musique.
Mais puisque nous sommes là, dansons.

En savoir plus sur 22/11/63 :

Jake Epping, professeur d’anglais à Lisbon Falls, n’a pu refuser d’accéder à la requête d’un ami mourant : empêcher l’assassinat de Kennedy. Une fissure dans le temps va l’entraîner dans un fascinant voyage dans le passé, en 1958, l’époque d’Elvis et de JFK, des Plymouth Fury et des Everly Brothers, d’un taré solitaire nommé Lee Harvey Oswald et d’une jolie bibliothécaire qui deviendra le grand amour de Jake, un amour qui transgresse toutes les lois du temps.

2 Commentaires

  1. J’avais six ans quand JFK est mort, ma vie est remuée par ce drame. J’ai été au Dealey Plazza à Dallas puis j’ai abordé ce thème dans un livre…
    James Franco et le feuilleton sont saisissants de respect pour le roman de Stephen King, je le connaissais en maître du suspens, je découvre un poète à travers les lignes qui closent la série.
    Je me permettrai d’emprunter ces lignes pour dire au revoir à un ami en phase terminale.
    Merci.

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