Aujourd’hui sort aux éditions JC Lattès la nouvelle Plein Gaz, co-écrite par Stephen King et un de ses fils, Joe Hill, notamment auteur de Cornes et NOSFERA2 (qui sort également aujourd’hui chez JC Lattès).

Cette nouvelle a été écrite en hommage à Duel, de Richard Matheson, dont Steven Spielberg en avait livré une adaptation en 1971.

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L’avis de Stephen King France

Si l’histoire ne démarre pas sur les chapeaux de roue (promis, ce sera notre seul jeu de mot), elle nous régale des éléments que l’on apprécie habituellement chez le père comme chez le fils : nervosité et visuel. Un duo de choc qui se complète grâce à ses différents atouts.

Le père permet d’aborder la psychologie des personnages un peu plus en profondeur. Rien n’arrive jamais sans raison dans le monde de King et les esprits torturés ont beaucoup de soucis à se faire.

Le fils, lui, permet d’imposer un rythme soutenu sans de longues descriptions du paysage ou des personnages. Son intervention est sans doute également à l’origine de la conclusion de cette nouvelle, les fins de Stephen King étant souvent décevantes ou donnant parfois l’impression d’être bâclées.

Stephen King et Joe Hill nous signent ici une très bonne histoire mais un peu courte : 90 pages en gros caractères qui défilent bien trop vite sous les doigts. Terrifiante et très bien rythmée, presque mécanique, Plein Gaz se lit si vite qu’elle nous met l’eau à la bouche. On n’est pas habitués à passer moins d’une heure sur un récit du King. On en demande plus et fatalement, bonne ou mauvaise conclusion : on reste un peu sur notre fin.

 

Résumé de l’histoire

Sur une route désolée du Nevada, un gang de motards est pris en chasse par un camion fou, apparemment bien décidé à les éliminer un à un. Il n’existe qu’une seule issue pour sauver sa peau : ne jamais ralentir…

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